Quelques jeux de ballons et de trap-trap (3).

Le Chat Perché

C’est une variante du Chat glacé, où il n’y a pas de maison prédéfinie : il suffit d’être « perché » pour ne plus être « attrapable » (on ne doit plus être en contact direct avec le sol : sur un plot assez stable et large pour ne pas tomber, dans un arbre, assis sur une chaise en relevant les pieds, par exemple).

La balle aux prisonniers

Un jeu de ballon qui se joue en deux équipes : les joueurs doivent esquiver le ballon envoyé par les joueurs de l’équipe adverse ; s’ils sont touchés en première balle (c’est-à-dire que la balle n’a pas rebondi au sol avant d’atteindre les joueurs), ils deviennent « prisonniers » de l’autre équipe, et vont se placer derrière eux. Les joueurs de leur équipe peuvent alors soit tenter de faire des prisonniers, soit tenter de leur passer la balle en lobant les adversaires (d’où le nom du jeu « balle aux prisonniers ») ; pour se libérer, le prisonnier qui a récupéré la balle doit la lancer et atteindre un de ses adversaires. Attention : le ballon ne doit pas être trop dur, pour ne pas faire mal ; de plus, il est interdit de viser la tête des joueurs. L’équipe qui a gagné est celle qui a réussi à faire prisonniers tous les joueurs adverses, ou bien celle à qui il reste le plus de joueurs « libres » (si on joue en temps limité).

Gendarmes et Voleurs

Les « gendarmes » doivent attraper les « voleurs ». C’est un peu comme le jeu des éperviers et de moutons : un voleur attrapé devient gendarme. On peut corser le jeu en distribuant une carte aux joueurs, sur laquelle il y a soit un G pour « gendarme », soit un V pour « voleur », puis tout le monde se disperse. Quand deux joueurs se rencontrent, ils se montrent leur carte respective : si ce sont deux voleurs ou deux gendarmes, rien ne se passe ; si l’un est voleur et l’autre gendarme, le gendarme tente alors d’attraper le voleur, qui essaie de s’enfuir.

Bientôt, d’autres jeux (de cache-cache, cette fois-ci). D’ici-là, amusez-vous bien !^^